• 30 Avril 2024, 23:08:49


Auteur Sujet: BlaBla [Chat alakon]  (Lu 1595155 fois)

0 Membres et 3 Invités sur ce sujet

Hors ligne RaiDeN

  • *
  • • Gamer Since 2oo7
  • Messages: 10672
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12435 le: 09 Octobre 2010, 21:15:25 »
Sa va, la guerre qui dur 810 Ans .. ^^

Citer

3005 : Début d'une guerre entre Terriens et Extra-terrestres.

3815 : Fin du conflit. La terre est anéantie, de rares survivants contribuent au renouveau de la civilisation.



RaiDeN
• OsTeel RaiDeN •


Hors ligne GtaManiac

  • Votre serviteur bien aimé
  • *
  • Redforce member
  • Messages: 8541
    • Voir le profil
    • GTAOnline.net
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12436 le: 09 Octobre 2010, 21:18:17 »
Franchement qui sais, il y a 1000 ans on dirait que la terre est ronde ou qu'il existe des voitures on t'aurai prit pour un fou et couper la tête, et de nos jours les gens se font interné quand ils parlent de fin du monde, de vie hors de la terre, de truc bizarre ou autre ... on sais spas se qui peut arriver dans 1000 ans ou même 50 ans.

Peut être que d'ici la les chercheurs auront trouver un moyen de faire voyager le corps a une vitesse lumière sans désintégrer un corps humain, a trouver d'autre énergie etc ... mais au mieux on verra la vie évolué jusqu'en 2080 ^^
GTAOnline - TwitchFacebook - Twitter

"Le problème, c'est le choix" - Néo

Hors ligne GtaManiac

  • Votre serviteur bien aimé
  • *
  • Redforce member
  • Messages: 8541
    • Voir le profil
    • GTAOnline.net
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12437 le: 09 Octobre 2010, 21:48:32 »
Ce sont des trous de verre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_de_ver

2 trous noir reliée entre eux, et celons Einstein si on entre dans se trou de vers, l'espace temps est modifié, mais la encore on serait complètement désintégrer car c'est totalement instable.

Mais je crois aussi en la vie en dehors de la terre, qui sais il y a tellement de galaxie, mais on peut pas encore voir assez loin, il y a peut être un autre soleil encore plus loin, d'après les scientifiques si on a encore rien trouver c'est que nous comme "eux" non pas la technologie assez évolué pour se trouver, mais perso je pense pas qu'il y ai des "êtres" mais plus comme tu dit des bactéries ou petit truc vivant en dehors.
GTAOnline - TwitchFacebook - Twitter

"Le problème, c'est le choix" - Néo

Hors ligne Ssk

  • *
  • Lulu's Stunt - Le serveur stunt de Lulu !
  • Messages: 8154
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12438 le: 09 Octobre 2010, 21:58:38 »
Il parle plutôt de la téléportation par fibre optique ^^


http://www.tregouet.org/edito.php3?id_article=402



Derrière tout programme se cache un programmeur, je considère le monde comme un programme.
Mon blog

Hors ligne NatiVe™

  • *
  • Messages: 7977
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12439 le: 09 Octobre 2010, 22:27:34 »
CAUSE COMMUNE
Chapitre 1 (extrait)
Deux mondes en un
« Commun : qui appartient à tous ;
à quoi tous ont droit ou part. »
Grand Larousse Encyclopédique

Cher lecteur, chère lectrice, supposons un instant que, comme dans les romans de science-fiction de Doris Lessing [1], vous fassiez partie d’une lointaine équipe intergalactique envoyée chez nous prendre le pouls de notre planète. On vous aura muni d’instructions qui paraîtraient surprenantes à un Terrien. On vous invite à ignorer temporairement les symptômes d’une crise écologique physique : montée de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, usage rapidement insoutenable des ressources énergétiques, apparition de nouveaux problèmes de santé liés aux milieux et modes de vie. On vous demande de vous consacrer de toute urgence à un domaine largement immatériel, celui des échanges d’information entre êtres humains et des tensions qui s’y produisent. Vous partez en quête d’observations.
Première observation : Wikipedia

Le 15 janvier 2001, Larry Sanger, Ben Kovitz et Jimbo Welsh lancèrent un projet qui visait à créer une encyclopédie à laquelle chacun pourrait accéder librement et gratuitement, dont chacun pourrait réutiliser et modifier les articles pourvu que les articles modifiés restent eux-mêmes librement accessibles, utilisables et modifiables. L’outil de production de cette encyclopédie était un Wiki, c’est-à-dire un logiciel permettant à n’importe qui d’éditer n’importe laquelle de ses pages (articles) avec un simple navigateur Web.Vous avez bien lu : n’importe qui ayant accès à la Toile peut à n’importe quel moment changer le contenu de n’importe lequel des articles de cette encyclopédie. Un observateur terrien de cette activité, Clay Shirky, a reconnu dans son article « Les logiciels sociaux et la politique des groupes » [71] [2] que, même parmi les promoteurs de la coopération informationnelle, bien peu croyaient qu’une approche ouverte à tous, sans aucun contrôle éditorial a priori, pouvait aboutir à autre chose qu’à un chaos destructif.Trois ans et demi plus tard, la version anglaise de l’encyclopédie comporte 370 140 articles, et Wikipedia [3] existe dans plus de 80 langues, dont 18 comportent plus de 10 000 articles, le total dépassant aujourd’hui le million d’articles. La version française en comporte près de 60 000, en augmentation rapide. La vision dynamique du progrès du projet est encore plus impressionnante : passé une certaine masse critique d’articles et d’usagers dans une langue donnée, la qualité des articles augmente rapidement. Pour un exemple d’article abouti, on pourra consulter notamment l’article « Clavecin [4] » de la version française.

Comment Wikipedia peut-il fonctionner et aboutir à un tel succès ? En libérant la capacité créative de dizaines de milliers de contributeurs, et en permettant à cette capacité de s’exercer à petites doses, incrémentalement. Et aussi en s’assurant, ce qui est tout le génie de la conception technique des Wikis et de la mise en oeuvre qu’en fait Wikipedia, que cela prenne au moins autant de temps de détruire que de créer, et que les destructions soient réversibles. Wikipedia met en action des dispositifs de sécurité, mais ils ne s’exercent que contre ceux qui voudraient modifier de très nombreuses pages à la fois, ce qui ne saurait être le cas d’un contributeur bien intentionné. C’est seulement pour quelques endroits « critiques », telle la page d’accueil du projet, qu’il a été nécessaire d’introduire des principes de modération (soumission de la demande de changement à l’équipe éditoriale). Comme la plupart des projets de coopération informationnelle libre,Wikipedia possède de nombreux dispositifs pour alimenter la coopération, lui permettre de progresser vers des buts partagés : listes de discussions entre contributeurs, historiques, métaprojets de coordination linguistique, projets satellites sur les synonymes, les citations, et surtout ce que Clay Shirky appelle la « Constitution commune » du projet, l’énoncé de ses buts et de ses règles.

Voilà notre observateur intergalactique fort étonné. En général, on ne l’envoie pas aussi loin pour constater que tout va bien. Il poursuit donc ses observations, et en voici bientôt une seconde, qui paraît difficile à concilier avec la première.
Deuxième observation : les multinationales de l’information en guerre contre leurs clients

Sous le titre « Le patron de Vivendi va prendre la tête de la guerre contre le piratage », le Financial Times [81] rapporte que, le 12 octobre 2004, Jean- René Fourtou, PDG de Vivendi-Universal et président de l’International Chamber of Commerce, s’est adressé, aux Nations unies, à un parterre de dirigeants de multinationales pharmaceutiques, pétrochimiques, du logiciel et des biens de consommation. Il a annoncé une offensive industrielle mondiale contre le piratage intellectuel, appelant les dirigeants d’entreprise à s’unir dans cette guerre. Le même jour, selon une dépêche de l’Associated Press, un groupe de travail fédéral américain a recommandé de donner de nouveaux pouvoirs d’enquête et de police à ceux qui combattent le « vol de propriété intellectuelle », allant de la contrefaçon de médicaments à l’échange de musique sur Internet. Par exemple, le rapport de ce groupe de travail suggère d’autoriser les écoutes téléphoniques et la surveillance d’Internet, ainsi que d’instituer une obligation pour les fournisseurs d’accès à Internet de donner les noms des usagers accusés d’échanges de contenus soumis à copyright. Rien là de spécifique aux États-Unis : un renforcement similaire des procédures, incluant des mesures de saisie préventive des biens et avoirs des personnes accusées, est prévu dans la directive européenne « Respect des droits de propriété intellectuelle  » adoptée le 29 avril 2004.

Les Terriens semblent ne pas s’étonner que l’on traite avec les mêmes instruments juridiques et de police la copie industrielle de produits physiques et l’échange d’information sans but lucratif par les individus. Ils ne paraissent pas s’étonner non plus d’une coalition mondiale de grands patrons s’organisant pour mener un lobbying conjoint auprès des gouvernements de 80 pays et cédant à la frénésie de la guerre préventive au point d’en lancer une contre leurs propres clients.
Les deux mondes

Redevenons simples Terriens. Cette coexistence de phénomènes apparemment si disparates qui touchent la production et les échanges d’information est-elle anecdotique ? Résulte-t-elle d’une sélection un peu aléatoire effectuée par notre observateur intergalactique ? Il n’en est rien.

[...]

Tout se passe comme si deux mondes habitaient une seule planète, y traçant des routes complètement différentes.

Dans le premier, des programmeurs [5] de logiciels libres distribués dans le monde entier créent, sans recours aux transactions monétaires, des réalisations techniques plus complexes que ce dont l’humanité a pu rêver jusqu’à il y a peu. Le partage des goûts et des créations réinvente la diversité culturelle autant qu’il la brasse. L’usage des technologies de l’information et de la communication, du courrier électronique aux listes de discussion, des sites Web coopératifs à la mise en réseaux d’informations mutualisées, favorise l’apparition de nouvelles solidarités mondiales et locales. L’émergence de ressources et d’outils partagés pour l’information, par la preuve qu’elle apporte des bénéfices de la coopération et de la solidarité, renforce l’idée qu’il existe des biens communs porteurs d’avenir. Les acteurs de ces domaines s’allient à ceux qui combattent pour préserver les biens publics mondiaux fragiles de la sphère physique (eau, air, climat, environnement). Les solidarités sociales s’enhardissent et se donnent les moyens du contrôle qualitatif des formes d’échange et de production, valorisant dans un même mouvement le commerce équitable, les économies d’énergie et le partage des connaissances. Elles explorent de nouveaux moyens de doter de ressources suffisantes les biens publics sociaux (éducation, santé, revenus pour tous). Une nouvelle ère du politique s’ouvre, qui s’appuie sur l’État à toutes ses échelles et sur les institutions internationales sans avoir besoin qu’ils contrôlent la vie sociale dans le détail.

Dans le second monde, des multinationales produisent des contenus standardisés (films, produits de marque, formats d’émissions télévisées) qu’elles déclinent en versions « localisées ». Elles consacrent des sommes gigantesques à les promouvoir auprès de ceux qui sont assez riches pour se les payer, ou pour que leur attention soit vendue aux annonceurs publicitaires. Elles défendent leurs monopoles par de multiples murs de propriété : brevets, droits d’auteur patrimoniaux dont la mise en oeuvre est maintenant assurée par la technique et la surveillance, à un moindre degré, marques. Les mécanismes complexes des transactions liées aux licences de brevets et de copyright leur permettent d’échapper aux prélèvements fiscaux. Dans ce monde, nous devenons les terminaux de la musique que nous écoutons, de médias qui ne nous permettent plus de distinguer mise en scène et réalité. Des campagnes d’information gouvernementales nous invitent à adopter une alimentation saine, alors que pour l’immense majorité de la population ni l’offre du supermarché du coin, ni les messages publicitaires généraux, ni les contraintes de temps ne permettent d’adopter ces comportements. Dans ce monde, nous sommes les cibles de médicaments, bientôt personnalisés génétiquement, que nous consommons, les logiciels nous utilisent plus que nous ne les utilisons, et nous éprouvons leurs mises à jour comme autant d’épreuves non choisies. Les marges de profit inimaginables des industries qui possèdent des monopoles sur l’information transforment l’économie physique en une dépendance subissant en permanence la pression de la maximisation des revenus financiers. Les territoires, les travailleurs, y sont jetables, ou reconfigurables à merci. Dans les marges de ce monde, ceux qui ne réunissent pas les conditions de revenu ou de socialisation pour être des terminaux rentables survivent de débrouilles aux franges de la légalité et des miettes de systèmes de solidarité privés de leurs ressources. La criminalité organisée prospère sur la déconnexion entre prix et coûts de production [6], qui lui permet de transformer la contrefaçon en industrie utilisant les mêmes circuits que les multinationales. Ceux qui disposent du confort nécessaire tentent d’échapper à la perte de sens qui résulte de tous ces mécanismes par le repli sur soi et la reconstruction d’un environnement protégé dans une sphère privée.
Aperçu

Notre présent est gros de ces deux mondes. Ils l’habitent l’un comme l’autre, mais leur cohabitation est si tendue, si explosive, que l’heure des bifurcations arrive. Dans les quelques années qui viennent, nous allons prendre des décisions qui détermineront de façon irréversible lequel de ces deux mondes va dominer notre avenir. Mais d’où viennent ces deux mondes ? Une cause commune les a mis en mouvement. La naissance de techniques permettant d’extraire l’information, de la créer, de la transformer, de lui donner forme, de l’échanger, de reconnaître des éléments d’information dans ce qui paraissait autrefois simple agencement de matière ou mystérieux phénomènes du vivant, constitue cette cause commune. On a tant parlé d’information, d’économie de l’information, des techniques d’information et de communication, que plus d’un lecteur doit les avoir rangées parmi ces concepts vagues qui vivent ce que vivent les modes intellectuelles. Pourtant, il est aujourd’hui possible de quitter le terrain des invocations pour vraiment comprendre en quoi l’information et ses techniques sont une transformation majeure des civilisations humaines, et comment la collision entre leur naissance et les mécanismes antérieurs de l’économie monétaire et des régimes de propriété nous précipite dans ces mondes contradictoires.

Philippe Aigrain.

NV. 8)



Tu vois avant? Bah j'étais là encore avant!

Hors ligne Ssk

  • *
  • Lulu's Stunt - Le serveur stunt de Lulu !
  • Messages: 8154
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12440 le: 09 Octobre 2010, 22:30:48 »
Tu sais quoi ? J'ai tout les volumes de cette encyclopédie =)



Derrière tout programme se cache un programmeur, je considère le monde comme un programme.
Mon blog

Hors ligne Kleinshka

  • *
  • GTAOnline Addict
  • Messages: 4410
    • Voir le profil
    • Made In Belgium
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12441 le: 10 Octobre 2010, 00:11:52 »
tl;dr

 :(

Hors ligne Watash

  • *
  • Messages: 5554
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12442 le: 10 Octobre 2010, 00:32:08 »
J'reviens du concert.. De la bombe ! C'était bien sympa :)

"Say good night, Mr. Diaz"

Hors ligne R@f

  • *
  • GTAOnline Addict
  • Messages: 4655
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12443 le: 10 Octobre 2010, 02:21:57 »
Jour spécial aujourd'hui. On est le 42 ! (101010 = 42).

++
R@f

Hors ligne Ssk

  • *
  • Lulu's Stunt - Le serveur stunt de Lulu !
  • Messages: 8154
    • Voir le profil
Re : Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12444 le: 10 Octobre 2010, 10:10:24 »
Jour spécial aujourd'hui. On est le 42 ! (101010 = 42).

++
R@f

Nous sommes le 10/10/10 il est 10h10
Geek powaaa! :p



Derrière tout programme se cache un programmeur, je considère le monde comme un programme.
Mon blog

Hors ligne Mr_C30

  • *
  • Gangster
  • souvent conquise jamais soumise
  • Messages: 1937
    • Voir le profil
Re : Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12445 le: 10 Octobre 2010, 10:19:56 »
Franchement qui sais, il y a 1000 ans on dirait que la terre est ronde ou qu'il existe des voitures on t'aurai prit pour un fou et couper la tête, et de nos jours les gens se font interné quand ils parlent de fin du monde, de vie hors de la terre, de truc bizarre ou autre ... on sais spas se qui peut arriver dans 1000 ans ou même 50 ans.

Peut être que d'ici la les chercheurs auront trouver un moyen de faire voyager le corps a une vitesse lumière sans désintégrer un corps humain, a trouver d'autre énergie etc ... mais au mieux on verra la vie évolué jusqu'en 2080 ^^
outch je pense pas tenir a 2080 moi  :-\ même si la moyen de vie augmente c'est quand même chaud la  ;D



Radis du soir bonsoir !


Hors ligne Ssk

  • *
  • Lulu's Stunt - Le serveur stunt de Lulu !
  • Messages: 8154
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12446 le: 10 Octobre 2010, 10:26:22 »
Pour moi aussi ca va être chaud je pense pas tenir jusque 85/86 ans :p



Derrière tout programme se cache un programmeur, je considère le monde comme un programme.
Mon blog

Anonyme

  • Invité
Re : Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12447 le: 10 Octobre 2010, 10:35:18 »
Jour spécial aujourd'hui. On est le 42 ! (101010 = 42).

++
R@f

Way le Binaire cay le Bien :>

Hors ligne Mr_C30

  • *
  • Gangster
  • souvent conquise jamais soumise
  • Messages: 1937
    • Voir le profil
Re : Re : Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12448 le: 10 Octobre 2010, 10:43:57 »
Jour spécial aujourd'hui. On est le 42 ! (101010 = 42).

++
R@f

Nous sommes le 10/10/10 il est 10h10
Geek powaaa! :p

omg mais quesque ta encore fait sasuke

http://www.lepost.fr/article/2010/10/09/2257505_doit-on-redouter-ce-dimanche-10-octobre.html

Citer
- Et le 12 décembre 2012 dans l'attente de la fin du monde prévu selon la prédiction des Mayas pour le 21 décembre 2012

Roo  un gros virus 10 jours avant la fin du monde >.<
il aurait pas pue prévoir sa après ^^

xD
« Modifié: 10 Octobre 2010, 10:47:38 par Mr_C30 »



Radis du soir bonsoir !


Hors ligne Ssk

  • *
  • Lulu's Stunt - Le serveur stunt de Lulu !
  • Messages: 8154
    • Voir le profil
Re : BlaBla [Chat alakon]
« Réponse #12449 le: 10 Octobre 2010, 10:53:23 »
Maieuh !! C'est pas moi c'est Raf !



Derrière tout programme se cache un programmeur, je considère le monde comme un programme.
Mon blog